Mon petit est un écrit cathartique – encore un – dans lequel Nadège Érika se dissèque pour mieux se recomposer après un drame vécu. Un écrit moins intéressant pour le lecteur que pour celle qui écrit, s’y découvre et s’y (re)construit.
Que je suis fatiguée du règne de Narcisse, de ces textes qui répugnent à dire ce qu’ils sont vraiment et ne s’assument pas. Faut-il en passer fatalement par là pour gagner un statut littéraire en 2024 ? Entre lassitude et exaspération.