Avec ce cinquième roman, Julia Kerninon continue de faire le portrait de femmes toutes différentes et pourtant si semblables dans leur quête farouche de liberté. Ce qui m'avait séduite dans ces précédents romans peine ici à se renouveler. La sauvage Ottavia apparaît bien falote et artificielle, et a bien du mal à soutenir la comparaison avec celles qui l'ont précédée. Mon intérêt s'est émoussé au fil de la lecture. Un avis tiède.