Ce premier roman n’en est pas un. Le Corps d’après de Virginie Noar tient plus de l’essai, voire du manifeste dans ses dernières pages ou, plus sûrement, du témoignage de l’intime.
La narratrice, anonyme, rend compte par le menu - toute pudeur bue, et c’est libérateur - des modifications d’un corps, le sien, alors que s'annonce son premier enfant.